avertissement : voilà l'intégralité du texte tel que je l'ai écrit, j'en assume chaque mots, chaque virgule et par Respect pour la famille qui a soigné Monsieur le curé avec un dévouement indeffectible et par respect pour Madame Edith Rouquette, il n'y avait pas lieu de garder certains mots qui auraient pu blesser la famille aux obsèques de Mr le curé , lui l'artisan de paix, serait devenu lieu de guerre, lieu de conflit et une vaste mascarade. Une Eglise est faite pour prier (c'est pour cela que les personnes visées n'y vont jamais), elle est faite pour être en paix, c'est un lieu de pardon, MAIS PAS UN LIEU D'OUBLI BIEN LE CONTRAiRE !
monsieur le curé :
C'est bien triste de venir aujourd'hui vous accompagner à votre dernière demeure. Mais vous avez fait tant de choses en plus de cinquante ans au Frayssé !Beaucoup de personnes sont là pour les énumérer, et cette foule immense est la preuve que vous étiez aimés et respectés de tous. Au cathéchisme, vous vous plaisiez à nous faire apprendre par coeur "les béatitudes", et vous en avez été ce témoin vivant : artisan de paix, visiteur de prison etc.... J'ai eu l'immense honneur de vous accompagner de ma voix et de mon clavier pendant de nombreuses années, reprenant le flambeau de mon pauvre tonton Paul, martyre assassiné. Je ne souhaite qu'une chose, c'est que contrairement à lui, vous restiez dans notre mémoire et notre souvenir impérissablement...
Vous avez été le témoin de tant de nos joies, de tant de nos peines...En mon nom, au nom de ma fille Virginie dont vous avez sauvé la vie au sens propre et au sens figuré, au nom de son compagnon Damien, au nom de ma famille nombreuse aussi bien proche qu"éloignée : JE VOUS DIT MERCI !
Monsieur le curé, c'est tout un pan de notre vie que vous emportez avec vous , et vous avez tout pris en partant (allusion à ma perte de voix définitive et irréductable !), gardez le sur votre coeur comme un sceau scellé , précieux et impérrissable.
Maintenant, ouvrez la porte du grand et beau jardin, votre famille qui vous a précédée, Yvon, Mademoiselle Reine,Simone, Annie, Mimi : tout le monde est là pour vous accueuillir à bras ouverts.
Que notre Dame du Frayssé, Notre Dame du Réconfort vous accueuille !
AU REVOIR MONSIEUR LE CURE !
monsieur le curé :
C'est bien triste de venir aujourd'hui vous accompagner à votre dernière demeure. Mais vous avez fait tant de choses en plus de cinquante ans au Frayssé !Beaucoup de personnes sont là pour les énumérer, et cette foule immense est la preuve que vous étiez aimés et respectés de tous. Au cathéchisme, vous vous plaisiez à nous faire apprendre par coeur "les béatitudes", et vous en avez été ce témoin vivant : artisan de paix, visiteur de prison etc.... J'ai eu l'immense honneur de vous accompagner de ma voix et de mon clavier pendant de nombreuses années, reprenant le flambeau de mon pauvre tonton Paul, martyre assassiné. Je ne souhaite qu'une chose, c'est que contrairement à lui, vous restiez dans notre mémoire et notre souvenir impérissablement...
Vous avez été le témoin de tant de nos joies, de tant de nos peines...En mon nom, au nom de ma fille Virginie dont vous avez sauvé la vie au sens propre et au sens figuré, au nom de son compagnon Damien, au nom de ma famille nombreuse aussi bien proche qu"éloignée : JE VOUS DIT MERCI !
Monsieur le curé, c'est tout un pan de notre vie que vous emportez avec vous , et vous avez tout pris en partant (allusion à ma perte de voix définitive et irréductable !), gardez le sur votre coeur comme un sceau scellé , précieux et impérrissable.
Maintenant, ouvrez la porte du grand et beau jardin, votre famille qui vous a précédée, Yvon, Mademoiselle Reine,Simone, Annie, Mimi : tout le monde est là pour vous accueuillir à bras ouverts.
Que notre Dame du Frayssé, Notre Dame du Réconfort vous accueuille !
AU REVOIR MONSIEUR LE CURE !